Perithemis lais (Libellulidae) a été décrit par Perty, en 1834 et c’est la première fois, si mes souvenirs sont exacts, que je vois apparaitre ce nom en tant que descripteur d’un odonate. « Josef Anton Maximilian Perty, né le 17 septembre 1804 à Ornbau et mort le 8 août 1884 à Berne, est un entomologiste bavarois […]
Perithemis lais (Perty, 1834) Lire la suite »
Nous avons rencontré deux fois ce que nous pensons être Acanthagrion floridense, à chaque fois au bord d’un lac, très brièvement. Il est très proche de A. gracile, au point que Fraser l’a d’abord décrit comme une sous-espèce, le nommant Acanthagrion gracile floridense.Je ne suis pas parvenu à atteindre « Notes on Amazonian Odonata in the
Acanthagrion floridense (Fraser, 1946) Lire la suite »
J’avais déjà rencontré Erythemis attala en Colombie, mais je n’y avais vu qu’une femelle. Et les mâles, presque entièrement noirs, sont bien différents ; seuls les yeux sont plus marron que noirs, et ses appendices anaux sont clairs ou blanchâtres.Il est tellement noir qu’on ne peut le confondre qu’avec Erythrodiplax funerera dont la tache basale
Erythemis attala (Selys in Sagra, 1857) Lire la suite »
Le 22 août, Anomisma abnorme n’était pas notre seule cible. Très tôt, nous avons pris les pirogues pour remonter le Rio Blanco, où certains passages se sont avérés un peu scabreux en raison du manque d’eau. Après trois heures de navigation, nous atteignons enfin la Terra Firme, la terre ferme, la zone de la forêt
Anomisma abnorme (McLachlan, 1877) Lire la suite »
Acanthagrion phallicorne, Coenagrionidae, appartient au groupe apicale (A. apicale) mais présente des affinités étroites avec A. ascendens. Il est d’ailleurs photographiquement très proche d’A. ascendens et il faut l’examen des pièces anales pour les séparer.Ci-dessous (le même sujet que la photo ci-dessus, même position), on note son 10° segment muni de 2 prolongements en « V »
Acanthagrion phallicorne (Leonard, 1977) Lire la suite »
