Pérou

Uracis ovipositrix (Calvert, 1909)

Il semble qu’il n’existe pas de forme aux ailes hyalines pour Uracis ovipositrix ; tous les sujets ont une marque apicale sombre, dépassant au moins la partie proximale du ptérostigma. Il mesure environ 38 mm. On peut malheureusement le confondre facilement avec d’autres Uracis, en particulier U. imbuta ou fastigiata.Il faut donc recourir à l’examen […]

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Uracis fastigiata (Burmeister, 1839)

L’extension de la coloration alaire de Uracis fastigiata m’a toujours parue assez caractéristique : depuis l’apex de l’aile, elle peut dépasser largement le ptérostigma. Malheureusement, on lit dans (1) que les ailes peuvent être hyalines, ce que je n’ai jamais vu, ni au Panama, ni au Costa Rica.Il faut donc recourir à l’analyse de la

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Uracis imbuta (Burmeister, 1839)

Uracis imbuta accepte sans doute parfois un environnement un peu différent des autres espèces du genre, car nous l’avons rencontré en milieu ouvert et sur la Terra Firme (la « terre ferme », zone jamais inondée par le débordement de l’Amazone et de ses tributaires). Avec de nombreuses autres espèces nouvelles pour notre prospection, il squattait une

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Uracis siemensi (Kirby, 1897)

Nous n’avons rencontré Uracis siemensi qu’avec des ailes hyalines ; il se présente sous au moins 3 formes qu’ont représentées Costa et Santos dans  « Intra-and interspecific variation in the genus Uracis Rambur, 1842, with a key to the known species (Anisoptera: Libellulidae) » (1) dont je reproduis une illsutration ci-dessous : Malheureusement, d’autres espèces d’Uracis peuvent

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Uracis infumata (Rambur, 1842)

Rambur a créé le genre Uracis mais a décrit Uracis infumata sous le nom de Libellula infumata dans son « Histoire Naturelle des Insectes Névroptères » en 1842. Il ne donne pas sa taille (il manquait une partie de l’abdomen), et pas de détail sur son mode de vie, seulement sa « patrie » d’origine, le Brésil.Dans Calvert, « Contribution

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