J’avais déjà eu la chance de rencontrer Orthemis attenuata, au Brésil, en 2015, mais sans jamais avoir de photos qui montraient correctement son thorax et les bandes thoraciques jaunes qui permettent son identification. Si on ajoute son front métallique sombre aux reflets violacés, sa bande antéhumérale jaune, la large bande jaune qui barre son thorax […]
Pérou – Orthemis attenuata (Erichson in Schomburgk, 1848) Lire la suite »
Comme on peut s’en douter, cette rencontre avec Erythemis plebeja mâle immature s’est faite de nuit. C’est la seule rencontre de notre séjour. Il est venu s’abattre sur un piège à lumière placé dans une coursive du lodge, coursive à l’air libre, sur pilotis, pour la préserver des inondations annuelles. Le lodge est situé entre
Pérou – Erythemis plebeja (Burmeister, 1832) Lire la suite »
Il semble qu’il n’existe pas de forme aux ailes hyalines pour Uracis ovipositrix ; tous les sujets ont une marque apicale sombre, dépassant au moins la partie proximale du ptérostigma. Il mesure environ 38 mm. On peut malheureusement le confondre facilement avec d’autres Uracis, en particulier U. imbuta ou fastigiata.Il faut donc recourir à l’examen
Uracis ovipositrix (Calvert, 1909) Lire la suite »
L’extension de la coloration alaire de Uracis fastigiata m’a toujours parue assez caractéristique : depuis l’apex de l’aile, elle peut dépasser largement le ptérostigma. Malheureusement, on lit dans (1) que les ailes peuvent être hyalines, ce que je n’ai jamais vu, ni au Panama, ni au Costa Rica.Il faut donc recourir à l’analyse de la
Uracis fastigiata (Burmeister, 1839) Lire la suite »
Uracis imbuta accepte sans doute parfois un environnement un peu différent des autres espèces du genre, car nous l’avons rencontré en milieu ouvert et sur la Terra Firme (la « terre ferme », zone jamais inondée par le débordement de l’Amazone et de ses tributaires). Avec de nombreuses autres espèces nouvelles pour notre prospection, il squattait une
Uracis imbuta (Burmeister, 1839) Lire la suite »
