Coenagrionidae

Pérou – Ischnura fluviatilis (Selys, 1876)

Nous n’avons rencontré Ischnura fluviatilis que sur un seul site, une seule fois, alors que je suis revenu à plusieurs reprises pour essayer de faire de meilleures photos et de trouver une femelle. Seul, il se trouvait sur un petit ruisseau encaissé, avec un débit assez fort, qui sort de la forêt, à une trentaine […]

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Pérou – Phoenicagrion flammeum (Selys, 1876)

Phoenicagrion flammeum a été décrit par Selys sous le nom de Leptagrion flammeum. Williamson (1917) l’a placé dans le genre Aeolagrion, puis Natalia von Ellenrieder (1) a créé le genre Phoenicagrion pour cette espèce et une qu’elle a décrit à cette occasion, Phoenicagrion paulsoni.Ces Phoenicagrion ont pour caractéristique parmi les Coenagrionidae de ne pas porter

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Pérou – Phoenicagrion trilobum (Faasen, 2014)

Dans l’ombre de la forêt amazonienne, ce Phoenagrion trilobum (Coenagrionidae) est une surprise et une vraie beauté. Sa coloration est tout à fait originale ainsi que la disposition des taches de couleurs. Ses yeux sont tricolores, sous la forme de trois bandes bien distinctes, et c’est un détail d’identification qui permet de le séparer de

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Pérou – Telebasis inalata (Calvert, 1961)

Telebasis inalata est un des 60 Telebasis actuellement reconnus, mais ce n’est qu’un des quatre que nous contacterons pendant ce séjour. La rencontre a été brève et à distance, à deux reprises, sur deux étangs, car lac est un bien grand mot pour ces étendues qui sont des pièces d’eau dues aux débordements saisonniers de

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Pérou – Telebasis dunklei (Bick & Bick, 1995)

Nous n’avons pas pu approcher ce petit Telebasis dunklei sur les rives du Tabano Lake et mes photos sont très recadrées.C’est un des 60 Telebasis et le 2° bleu que je rencontre, ils sont habituellement rouges ; il ressemble d’ailleurs beaucoup à T. obsoleta mais sa bande antéhumérale noire est beaucoup plus marquée et large,

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