Ces photos ont été faites au même endroit que celles de la page précédente, c’est-à-dire sur cette grosse station de Caloptéryx éclatant au pied de la chaussée d’un moulin qui barre la rivière locale, l’Evre. Mais cette fois-ci, il est entre 8 et 9 heures du matin.
Malheureusement l’endroit est au pied d’un coteau très abrupt, le soleil n’y arrive qu’assez tard et le manque des reflets du soleil sur la rosée enlève beaucoup de charme aux photos.
Si je me suis rendu de bonne heure sur ce site ce n’est pas par hasard ; c’est un site « dortoir » que je connais depuis des années. Je sais que le matin de bonne heure je peux y rencontrer facilement Calopteryx splendens et Platycnemis pennipes embellis par la rosée…
De jour, le lieu est aussi fréquenté par de nombreux Onychogomphus forcipatus qui prennent le soleil sur les cailloux qui émergent de l’eau ; mais les trouver posés le matin avant que le soleil ne réchauffe ce petit coin est une gageure !