A gauche, pas de tache blanche sur le labium ici tout noir.
S'ils sont connus pour aimer se poser sur la végétation flottante, c'est aux dépens du photographe... mais ils aiment aussi beaucoup se poser sur les tiges qui dominent leur domaine, et l'individu sur le nénuphar est le seul que nous ayons observé dans cette posture.
C'est la première fois que je l'observe dans un milieu un peu ouvert et j'ai été amusé par l'aspect que prennent leurs ailes en vol en raison des ptérostigmas blancs et des veines blanches juste en dessous.
Si la reproduction de Leucorrhinia caudalis est prouvée sur la réserve du Pinail, ici le 18 mai 2014, il y est discret surtout par rapport à son cousin L. pectoralis, très abondant sur le site. Il y est discret et très localisé puisque ce jour nous n'avons aperçu que 3 individus sur 2 mares, dans une partie de la réserve ou ils semblent se cantonner; celles dont les mares hébergent des nénuphars.
Ci-dessus on constate facilement que ces ptérostigmas sont blancs au dessus, noir par dessous...
Leucorrhinia caudalis mâle 5/6
Clic...
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On peut assimiler le labium à la lèvre inférieure.