Cette identification m'a causé quelque problème ; en Maine et Loire, il n'y a que 4 Coenagrions. On peut écarter C. mercuriale en raison du biotope ( loin d'un ruisseau) et des tarses sombres, des taches postoculaires présentant des identations postérieures (lisses pour C. meruciale), et de la forme et de la taille des ptérostigmas. Le pronotum permet tout de même d'écarter également C. scitulum et pulchellum (non connue sur ce site et sur un seul lieu dans le département). Il s'agit donc d'une forme sombre (sur l'abdomen), mais forme connue, de femelle Coenagrion puella. Le 14 juin 2012, Le Fuilet.

Ci-dessous on note la présence d'hydracariens sur le côté du thorax.

Coenagrion puella femelle 4/4

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