Un autre indice est apporté par la la lame vulvaire de la femelle (photo du milieu en bas) qui est peu saillante, ce qui la différencie facilement de S. alpestris ou S. metallica. Du fait de ces marques jaunes dorsales, et ici des reflets du soleil, elle apparaît ici moins sombre qu'elle n'est classiquement. On note tout de même que l'abdomen semble terne et non vert métallique, comme pour ses cousines.

Les photos 1 et 5 ont été faites le 17 juillet 2016, près de la rivière Torne à Pajala, en Suède. Les 3 autres à Kilpisjärvi, le 19 juillet, au nord de la Finlande. Il est rare que les femelles soient plus faciles à identifier que les mâles, mais les 2 taches plus ou moins rondes sur la face du 3° segment de l'abdomen facilitent la tache. Le profil de ces femelles donne encore d'autres éléments, comme l'anneau jaune entre le 2° et 3° segment, et la tache en "L" inversé sur le 2° segment.

Suède et Finlande
Somatochlora arctica femelle 2/2

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