Malgré une dispersion géographique très vaste dans toute l'Asie je ne l'ai rencontrée que 2 fois au Sri Lanka. A droite sur un bassin dans un patio à Kalatura, à gauche, en ponte près d'Anadharapura, sur une mare près d'un lac artificiel.
Ici au Cambodge, là au Laos.
Ici au Cambodge, là au Laos.
Pour une fois je place la femelle de l'espèce en première place; c'est sans doute une femelle de libellulidae des plus faciles à rencontrer; ce n'est pas la règle. A gauche, la ponte en solo (sans mâle en surveillance) mais tout de même avec cette technique bien classique pour une libellulidae du "coup d'abdomen dans l'eau".
Sri Lanka
Brachythemis contaminata femelle 1/2
Brachythemis contaminata femelle 1/2
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Brachythemis contaminata - Fabricius, 1793
Brachythemis, du grec brachys court, pour la longueur de son abomen et du grec Themis, déesse de l'ordre, de la sagesse. Le choix de cette déesse répond à une double intention; d'une part la "mode" était de trouver une référence mythologique et le panthéon grec était riche, d'autre part, pour une science, la taxonomie, dont le but est le classement des espèces, le choix de la déesse de l'ordre semblait bien adapté.
Contaminata, du latin contaminatus, souillé, impur. Le Dr. Heinrich Fliedner, dans "The scientific names of the Odonata in Burmeister's 'Handbuch der Entomologie'" propose qu'on explique cette curieuse dénomination par le fait que pour les mâles la partie toute proximale de l'aile est colorée, puis presque hyaline, puis à nouveau vivement colorée, comme une contamination de la couleur...
Brachythemis, du grec brachys court, pour la longueur de son abomen et du grec Themis, déesse de l'ordre, de la sagesse. Le choix de cette déesse répond à une double intention; d'une part la "mode" était de trouver une référence mythologique et le panthéon grec était riche, d'autre part, pour une science, la taxonomie, dont le but est le classement des espèces, le choix de la déesse de l'ordre semblait bien adapté.
Contaminata, du latin contaminatus, souillé, impur. Le Dr. Heinrich Fliedner, dans "The scientific names of the Odonata in Burmeister's 'Handbuch der Entomologie'" propose qu'on explique cette curieuse dénomination par le fait que pour les mâles la partie toute proximale de l'aile est colorée, puis presque hyaline, puis à nouveau vivement colorée, comme une contamination de la couleur...