La fin du mois de juillet n'est pas une date limite à plus de 1100 mètres d'altitude pour cette femelle Erythromma najas. Dans mon Maine et Loire, à cette époque on pense surtout à rencontrer celle qui nous manque depuis l'année précédente, la tardive E. viridulum. Cela a donc été ma première idée à la vue de ces belles et longues bandes antéhumérales le 22 juillet 2017 sur les rives du Lac de Bourdouze, dans le Puy de Dôme. Et en regardant de plus près son pronotum, en particulier sur la photo de droite, il ne fait pas de doute que cette femelle n'a pas su lire correctement les guides d'identification... On retrouve également ce détail d'identification ( permettant de la séparaer de E. viridulum) que j'ai déjà mentionné sous la forme de la petite ligne noire à la partie inférieure du 2° segment abdominal. On note aussi qu'elle est lourdement chargée en hydracariens parasites sous la partie antérieure du thorax.
Erythromma najas femelle 5/5
Clic...
Clic...